La Dormition de la très Sainte Mère de Dieu.
Lève-toi, Bien-Aimée…
…montre-moi ton visage…

Pour la foi unanime des chrétiens, qui s’est transmise de génération en génération, à travers des récits apocryphes.
Marie, Mère du Christ Sauveur, ne pouvait qu’avoir rejoint son Fils avec son âme et son corps...
« Tombeau et mort furent impuissants à te retenir, Servante du Seigneur, toujours vigilante dans tes intercessions... notre espérance inébranlable en ta protection…
Il t’a transférée à la Vie, Celui qui a habité dans ton sein toujours vierge… »
« Toute-Pure, ce n’est pas à l’histoire de ce monde qu’appartient ton départ.
Mais bien, tout entier à l’histoire du salut ! Il est commencement dans ton corps et dans ton âme,
du bonheur éternel à la droite de ton Fils !
Si près de Lui, tu nous précèdes et tu nous attires !
Les Pères de l’Eglise, en épurant ces récits, ont permis à la liturgie de se faire le chantre joyeux et respectueux du mystère qui s’est accompli en Marie.
« Tombeau et mort furent impuissants à te retenir, Servante du Seigneur, toujours vigilante dans tes intercessions... notre espérance inébranlable en ta protection…
Il t’a transférée à la Vie, Celui qui a habité dans ton sein toujours vierge… »
« Toute-Pure, ce n’est pas à l’histoire de ce monde qu’appartient ton départ.
Mais bien, tout entier à l’histoire du salut ! Il est commencement dans ton corps et dans ton âme,
du bonheur éternel à la droite de ton Fils !
Si près de Lui, tu nous précèdes et tu nous attires !