top of page
ENTRER dans le mystère de l’icône, 
​
 Pour qu’elle devienne chemin de prière, il faut en découvrir les clés de lecture...
 et comprendre combien elle est le fruit d’une démarche intérieure de prière
sans laquelle,
 il n’y a pas d’icône…
  
L’ICONE n’est pas un tableau qui toucherait notre sensibilité
« Ce n’est jamais une icône qui est belle, c’est la Vérité qui y descend 
et s’habille de ses formes.. »
​
L’icône nous invite à un dépassement, par un regard qui voudrait être le regard même du Christ,
sur les réalités de notre vie..
​
L’icône rejoint tout homme au plus secret de son attente cachée...
Elle est destinée à élever l’homme vers Dieu.
 
 
 
 
MAIS, pour que l’icône commence à parler,
il faut tenter de saisir
« sa vie mystérieuse. »
 
Rien n’y est profane,
tout y est sacré.
 
Tout cherche à nous introduire dans le mystère,
dont elle est le signe.
 
Les symboles liturgiques de l’eau, de la lumière, des ténèbres,
des gestes sont intégrés dans l’icône.
 
L’icône s’inscrit dans une tradition d’Eglise
 
 
 
 
​
L’art iconographique est une règle confirmée.
 
La composition des images n’est pas laissée à la seule initiative des artistes.
Elle relève des exigences
du Mystère liturgique de l’Avènement de Dieu,
qui pose des règles architecturales et iconographiques
conformes à sa Présence.
 
 
 
 
 
 
 
 
​
​
​
​
 
Le peintre se soumet aux canons très stricts reçus de la tradition. 
​
L’artiste s’efface derrière le Mystère 
                                              dont il fait naître au jour, l’image...
​
Toute icône remonte à « l’Archétype » tracé par l’Esprit Saint.
est conditionnée par la création de l’homme à l’image de Dieu.
​
L’heure de la naissance du Christ  est l’heure de la naissance de l’icône.
Le Premier Testament lutte contre les idoles, les fausses images, 
dans l’attente de l’Image vraie. 
Au terme, Dieu révèle son Visage.
L’Incarnation justifie l’icône.
​
​
​
​
​
​
​
​
​
​
​
                                             Toute icône trouve sa source et son inspiration,
dans le VISAGE du DIEU FAIT HOMME.

L’icône, elle-même est MARTYRE
                                et porte les traces d’un baptême de sang et de feu...

 
​
​
​
​
bottom of page